"E pur, si muove" comme qui dirait, difficile à croire en ces temps de tourmente podologique, gagnera, gagnera pas, devient "LA" question qui tarraude tout nos esprits déjà bien assez tourmentés, les nationalismes sont finalement exacerbés et Maitre Kanter voit ses bénéfices augmenter comme jamais. Pendant ce temps, les grecs homosexuels sont considerer comme "souffrant de lourds troubles psycho-sexuels ou de troubles de l'identité sexuelle", ce qui les dispensent de service militaire, et du passage au permis, les japonnais preferent bosser que flirter, Thomas Hugues se fait licencier par TF1 (sale temps pour l'information), et superdiscount nous offre un super lave-vaisselle pour seulement 447€, la classe. Ya pas à dire, ya un truc qui tourne pas rond...
Ce petit intermède vidéophonique, non pas pour souligner la qualité indéniable de celle-ci, ni même pour applaudir la modernité du parti, mais plutôt pour se pencher sur les sources de l'inspiration du réalisateur. En effet, il suffisait d'une bonne connexion internet et d'un logiciel de montage pour arriver à ce résultat étonnant, époustouflant, abracadabrant, fracassant, pour ne pas dire fantasmagorique. Eh oui, toute ses belles images viennent d'un stock-shot, Getty images pour être précis, et, si on recherche tunnel, voici sur quoi on tombe. La petite demoiselle qui marche dans un tunnel. Et pour metro, une autre femme, toujours en bas à droite.
Et pour tout ceux qui se demandaient le rapport entre l'image et le son, certainement aucune, mais, on va pas se plaindre, y'a vingt ans, on en étaient reduit à ça.